Un gros... dodo^^

Tareq, oui, Tareq et pas Requã regarda longuement et silencieusement Theo qui était encore dans les vapes, appuyé contre le mur de la ville. Qu’avait-il voulut… déjà… en prenant le tueur dans ses baguages ?
Haaa ! Il ne s’en souvenait plus ! Peut-être juste de l’empêcher de commettre une bêtise face à Rebatte, ou la jeune femme… peut-être pas ! L’adolescent était presque sûr de n’avoir rien cassé en cours de route… merveilleux !^^

Tareq attendit encore quelques minutes, puis, il s’éloigna. Lorsqu’il fut assez loin, le sang-mêlé utilisa son pouvoir de semi-mage blanc pour ‘réparer’ le crâne de Theo^^ ! Il se réveillerait plus…rapidement.
Tareq disparut au loin laissant Theo seul. Ils se verraient bien… plus tard !

Theo émergeait doucement d’une grosse… hum… sieste ! Le tueur avait mal à la tête comme après une fête bien remplie.
Et il n’avait toujours pas vu la tête de l’homme qui l’avait… ! Theo se releva, un peu titubant. Il était où là… ?

*Qu’est-ce que je fous aux portes de… ? *

Theo ne savait sérieusement plus… Prit d’un léger vertige, le tueur s’assit.

(la machine est en route !^^ monsieur, l’apéro est servit !)

William s'amena avec une vingtaine de gardes. Il n'aimait pas faire sa mais cette fois Théo était aller trop loin, beaucoup trop loin. La vingtaine de garde et William pointérent leurs armes sur la tête à Théo, des fusils à pompe à canon scier.

"Tu te rend ou on te bute?"

Les paroles de William était simpliste mais trés sincére. Il en avait marre des conneries et des fantaisies de Théo. Il allait passer à la chaise éléctrique

Theo entendit une voix qui ne le réjouit guère : William. ‘On te bute’ ? Le tueur ouvrit les yeux et s’immobilisa. Environ une vingtaines d’armes étaient pointées sur lui… Voilà… il y était… et tout ça par la faute de Rebatte.
Le tueur se leva lentement, le visage impassible. Au fond de lui, Theo avait toujours su qu’un jour, il finirait ainsi. Tôt… ou tard.

Theo regarda longuement William. Ok, mais s’il fallait qu’il y passe… ce ne serait pas sans avoir souhaité une chose, et une seule à Willy ;

« Alors pense bien à Kat… attache-là si y faut, mais ne la laisse pas… »

Le tueur n’acheva pas sa phrase. Katarina ne devait pas mourir si bêtement… et Theo voulait que William y veille.
Le regard froid de Theo passa sur chacun des gardes… tous armés, et attendant le moindre ordre de leur chef ‘adoré’ ! Le tueur soupira longuement, presque tristement. Lentement, il sortit son arme et la lança négligemment aux pieds de William.

Le plus bizarre, c’est que Theo n’essayait même pas de dissuader William… de lui dire que ce n’était pas lui à ce moment. De toute façon, Theo avait fait bien assez de choses pour y passer de toute façon !

William ordonna à ses gardes adoré de le saisir. un rangea son arme et lui passa les menottes. C'était tout bon, voila. William malgré tout avait quelques regrets. Fini les séances ou ils essayaient de s'entretuer? Fini les flinguages collectif en tête à tête? D'ailleurs si Théo aurait essayer de le tuer seul, il ne l'aurait même pas arréter. C'était le fait qu'il se soit comporter en lâche, en demandant l'aide d'autres personnes. Il n'était pas si dangereux que sa pour qu'on le capture à trois. Si Théo voulait le torturer sans même le tuer, il aurait pu le faire seul sans aide. C'était surtout sa que William ne digérait pas. Il avalait pas la pillule comme disait les anciens. Attacher Katarina? Pourquoi? Ah oui... la promesse... mais cette fois, Théo était aller trop loin... VRAIMENT trop loin. Il l'attacherait si il le fallait comme l'avait dit Théo. Evidemment elle risquerait de ne pas apprécier mais bon... bref.

"Enmenez le"

Théo fut pris sous les bras par deux gardes robustes. Il se dirigeait vers le poste de police. Mais pour Théo, pas de jugement, pas de tribunal, pas d'interrogatoire. Il passait directement à la chaise éléctrique sans plus de cérémonie. Simple mais efficace. Il dit néanmoins une dérniére chose à Théo

"Je m'occuperais d'elle, sur ce point t'as pas à t'inquiéter"

Puis il suivit ces gardes. Il ne restait plus que quelques minutes de vie à Théo